Quand j'ai commencé, il y a quelques années, à dessiner des modèles vivants, les artistes avisés m'ont expliqué que le trait pouvait être interrompu et ce que l’œil ne pouvait voir, notre cerveau le créait.
Après ces quelques mois d'expériences de poses en tant qu'Amazone, j'ai constaté avec émerveillement que ce précepte s'est avéré réel, à travers vos yeux d'artiste, à travers vos yeux de spectateurs.
Vous, artistes, à travers vos des-seins, vos sculptures, là où il y existe un vide sur le corps d'Amazone, vous le créez d'une manière imperceptible, consciemment ou pas.
Vous, spectateurs, à travers vos mots, il existe une confusion de ce que votre œil a vu (ou pas) et ce que votre cerveau vous dit de voir.
Grâce à vous, cette ligne « cassée » n'a pas de sens dans ce corps dont le reflet du bien-être suggère une ligne (in)interrompue à travers vos regards. Merci pour ces moments de partage.
Après ces quelques mois d'expériences de poses en tant qu'Amazone, j'ai constaté avec émerveillement que ce précepte s'est avéré réel, à travers vos yeux d'artiste, à travers vos yeux de spectateurs.
Vous, artistes, à travers vos des-seins, vos sculptures, là où il y existe un vide sur le corps d'Amazone, vous le créez d'une manière imperceptible, consciemment ou pas.
Vous, spectateurs, à travers vos mots, il existe une confusion de ce que votre œil a vu (ou pas) et ce que votre cerveau vous dit de voir.
Grâce à vous, cette ligne « cassée » n'a pas de sens dans ce corps dont le reflet du bien-être suggère une ligne (in)interrompue à travers vos regards. Merci pour ces moments de partage.
Nathalie, Amazone